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mercredi, 06 mai 2015

Visage du Pauvre Lelian

 

 

 

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Georges Rouault (1871-1958), Portrait de Paul Verlaine (vers 1937),
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographie : octobre 2014.

 

 

 

Lumière d'en haut

 

 

 

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Philippe Quantin (1600-1636), Saint Bernard écrivant, détail,
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographie : octobre 2014.

 

 

 

Les bijoux sonores

 

 

 

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École de Fontainebleau, La Dame à sa toilette (vers 1560),
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographie : octobre 2014.

 

 

mardi, 05 mai 2015

« Aultre n'aray »

 

 

 

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« Aultre n'aray », devise de Philippe le Bon (1396-1467) après son troisième mariage (1430)
avec
Isabelle de Portugal, sa dernière épouse (1397-1467)
(« Aultre n'aray* Dame Isabeau tant que vivray »),
fragment d'un vitrail du XVe siècle,
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,
photographie : octobre 2014.

 

______

* n'aurai

 

 

lundi, 04 mai 2015

Souvenir des tombeaux magnifiques

 

 

 

 

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Vue générale :
Tombeau de Philippe le Hardi
(1342-1406) et
Tombeau de Jean sans Peur (1371-1419) et Marguerite de Bavière (1363-1423),
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographie : octobre 2014.

 

 

 

Crinières d'or

 

 

 

 

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Détail des lions aux pieds des gisants de Jean sans Peur & Marguerite de Bavière,
Claus de Werve (1380-1439), Jean de la Huerta (1413-vers 1460) et Antoine le Moiturier (1425-après 1497),
Tombeau de Jean sans Peur (1371-1419) et Marguerite de Bavière (1363-1423)
(vers 1435, puis
1443-1445, puis 1465-1470, restauré et restitué par endroits au XIXe s.)
,
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographies : octobre 2014.

 

 

 

dimanche, 03 mai 2015

Les éplorés de marbre

 

 

 

 

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Détail des Pleurants,
Jean de Marville (mort en 1389), Claus Sluter (vers 1355-1406) et
Claus de Werve (1380-1439),
Tombeau de Philippe le Hardi (1342-1406)
(1381-1410, restauré et restitué par endroits au XIXe siècle),
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographie : octobre 2014.

 

 

 

Interlude en gris

 

 

 

 

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L'avant-port du Tréport,
photographie : mai 2015.

 

 

Voir la photographie en un plus grand format.

 

 

 

Chronique du mauvais temps (fragment)

 

 

 

 

Comme le mauvais temps est beau, en France, près de la mer ou à Paris ! Comme il est vaste et profond ! Le gris de l'air est aimable et attentif, redoublé parfois par la pluie qui scintille, vivace, heureuse d'être la pluie... Dire qu'il est des gens qui s'en vont à prix d'or sur des plages aveuglantes, sous un insipide ciel bleu ! Sans doute leur manque-t-il ce regard exercé qui fait voir du pigeon parisien les plumes délicatement nuancées que souligne le violet du collier, et du goéland argenté du Tréport la tunique blanche adoucie par le manteau couleur cendre... Et le gris du ciel ! Que dis-je, les gris de ce ciel, le gris pâle, presque timide, le gris qui rêve, le gris qui s'allierait au rose de Verlaine, le gris bleu sombre, le gris bleu doux, le gris inquiet, le gris grave et lourd, le gris menaçant, le gris persuasif, le gris obombré, le gris de poussière, le gris noir, le gris infini, le gris qui s'enfuit, les mille autres gris... Dire qu'en France, près de la mer ou à Paris, nous possédons tous les gris, et que si peu savent les voir et les chérir comme autant de beautés de ce monde !

 

 

 

 

 

14:13 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Tags : frédéric tison, note, gris | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Deux anges pour un duc

 

 

 

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Jean de Marville (mort en 1389), Claus Sluter (vers 1355-1406) et Claus de Werve (1380-1439),
Tombeau de Philippe le Hardi (1342-1406)
(1381-1410, restauré et restitué par endroits au XIXe siècle), détail,
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographie : octobre 2014.

 

 

 

Pour l'un des frères de Jean de Berry

 

 

 

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Jean de Marville (mort en 1389), Claus Sluter (vers 1355-1406) et Claus de Werve (1380-1439),
Tombeau de Philippe le Hardi (1342-1406)
(1381-1410, restauré et restitué par endroits au XIXe siècle), détail,
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographie : octobre 2014.

 

 

 

mercredi, 29 avril 2015

La chasse à la licorne

 

 

 

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Claude Domec (1902-1981), Le Monocère enfin capturé par les fils de la Vierge (vers 1962-1963), détail,
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographie : octobre 2014.

 

 

 

Comme un instantané

 

 

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Félix Turtat (1824-1848), Portrait de l'artiste et de sa mère (vers 1846),
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,

photographie : octobre 2014.

 

 

 

mardi, 28 avril 2015

La Librairie de Jean, duc de Berry, au château de Mehun-sur-Yèvre, en 1416 (54)

 

 

 

Introduction.

 

 

 

« 118. Un petit livre, appellé la Fleur des histoires de la terre d’Orient, escript en françois de lettre de court, enluminé et historié en plusieurs lieux ; en la fin duquel a un autre livre de toutes les provinces et cités de l'universel monde ; et au commencement du second fueillet a escript : Du Royaulme ; couvert de veluyau vermeil, à deux fermoers d'argent doré, aux armes de feu Mgr le duc de Bourgogne [Philippe le Hardi], et seignaulx [tiges de métal aussi longues que l'épaisseur du parchemin, auxquelles s'attachent les signets] de plusieurs couleurs, et sur chascun ais cinq boullons d'argent doré hachiés ; lequel Mgr de Bourgogne [Jean sans Peur] donna à Mons., à Paris, le 22 de mars 1402._20 liv. »

 

 

Il s’agit de La Fleur des Histoires d’Orient (ouvrage autrement nommé La Flor des Estoires de la terre d'Orient), par l'historien Jean Hayton (ou Héthoum de Korikos), prince arménien, fils d'Oshin Ier, seigneur de Korikos, qui devint chanoine de Prémontré, et mourut prieur d'une abbaye de cet ordre à Poitiers, vers 1310 ; il a déjà été question de lui ici. Ce livre est la première histoire et la première géographie de l'Asie au Moyen Âge, et fut dicté tout d’abord par l'auteur à Niccolò Falcon, lequel en établit le texte latin (sous le titre Flos Historiarum Terrae Orientis), texte que Jean Le Long traduisit en 1351 en français sous le titre : Livre des hystoires des parties d'Orient. Dans ce manuscrit, l'ouvrage est suivi d'un « autre livre de toutes les provinces et cités de l'universel monde » que je ne suis pas parvenu à identifier (il peut s'agir de n'importe quel récit de voyage en vogue à cette époque (à moins, naturellement, que quelque chose m'ait échappé)).

 

 

(à suivre.)

 

 

 

Un oiseau selon Staël

 

 

 

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Nicolas de Staël (1914-1955), Oiseau noir (1950),
Palais des ducs de Bourgogne, musée des beaux-arts de Dijon,
photographie : octobre 2014.